As noted in CD 4 of this series (
Pensée poétique), Gottschalk spent the whole of January 1868 in the then desolate little town of Las Conchas, some thirty kilometres north of Buenos Aires. Cholera and leprosy surrounded him and he himself suffered from various boils and a tumour on his arms and thighs.
Dernier amour was, however improbably, penned during this time. Based on a beguilingly languorous tango-like theme, the last seven of its ten pages are devoted to an exacting rapid repeated-note decoration of the melody marked piano throughout its course: an étude that mimics a musical box. The piece is dedicated ‘à mon ami Charles G Pond de New York’.
from notes by Jeremy Nicholas © 2005
Comme nous l’avons vu dans le CD 4 de cette série (
Pensée poétique), Gottschalk passa tout le mois de janvier 1868 dans la bourgade alors désolée de Las Conchas, à une trentaine de kilomètres au nord de Buenos Aires. Le choléra et la lèpre sévissaient alentour et lui-même souffrit de furoncles, assortis de tumeurs aux bras et aux cuisses. Aussi improbable que cela paraisse,
Dernier amour date de cette période. Fondées sur un thème d’une langueur envoûtante, à la manière d’un tango, ses sept dernières pages (sur un total de dix) sont vouées à une astreignante décoration, en rapides notes répétées, de la mélodie marquée piano sur toute sa longueur: une étude qui imite une boîte à musique. La pièce est dédiée «à mon ami Charles G. Pond de New York».
extrait des notes rédigées par Jeremy Nicholas © 2005
Français: Hypérion
Wie schon im Begleitheft zur vierten CD in dieser Reihe (
Pensée poétique) hingewiesen wurde, verbrachte Gottschalk den ganzen Januar 1868 in der trostlosen kleinen Stadt Las Conchas, ungefähr 30 km nördlich von Buenos Aires. Er war von Cholera und Lepra umgeben und litt selbst an diversen Eiterbeulen und Geschwüren auf seinen Armen und Oberschenkeln. Wie unwahrscheinlich es auch klingen mag,
Dernier amour entstand zu jener Zeit. Das Stück beruht auf einem betörend schmelzenden tangoartigen Thema. Der Verlauf der letzten sieben des aus zehn Seiten bestehenden Stückes wird von einer anspruchsvollen Verzierung der Melodie aus schnellen Tonwiederholungen im piano geprägt: eine Etüde, die eine Spieldose nachahmt. Das Stück ist „à mon ami Charles G. Pond de New York“ gewidmet.aus dem Begleittext von Jeremy Nicholas © 2005
Deutsch: Elke Hockings