Victoria’s Mass on the Marian plainsong Hymn
Ave maris stella is in G minor (transposed Dorian) and is contrapuntally elaborate. The minor key gives the music that ‘soulfulness’ with which Victoria is so associated, though this is only one aspect of the composer’s otherwise cheerful disposition. The
Missa Ave maria stella has two Agnus Dei movements, the second of which has divided tenors. It also has two ‘Hosanna’ settings, the one after the Sanctus being unusual for Victoria in using the full words of the first verse of
Ave maria stella in the tenor part to a version of the plainsong tune.
Victoria thus triumphantly asserts the basis of his Mass. This lovely work was first published in 1576 and then reprinted in the 1583 book which also contained the Missa O quam gloriosum.
from notes by Bruno Turner © 1984
La messe de Victoria sur le thème marial au plain-chant
Ave maris stella est en sol mineur (mode dorien transposé) et présente un contrepoint élaboré. Le ton mineur donne à la musique cette âme expressive presque mélancolique à laquelle est associé le compositeur, bien qu’il ne s’agisse là que de l’une des nombreuses facettes d’un homme autrement très joyeux. La messe
Ave maris stella comporte deux mouvements de l’Agnus Dei, le second avec deux ténors séparés. Elle présente aussi deux «Hosanna», dont celui qui suit le Sanctus est quelque peu inhabituel de la part de Victoria puisqu’il reprend le texte intégral du verset final de l’
Ave maris stella au ténor sur le thème du plain-chant. Victoria assoit ainsi triomphalement les fondations de sa messe. Cette très belle œuvre fut publiée pour la première fois en 1576 pour être réimprimée en 1583 dans l’ouvrage qui contient aussi la
Missa O quam gloriosum.
extrait des notes rédigées par Bruno Turner © 1984
Français: Marie Luccheta
Dazu ist Victorias auf dem Marien-Choral
Ave maris stella aufbauende Messe in g-Moll (transponiertes Dorisch) und kontrapunktisch ein wenig komplexer. Die Molltonart verleiht der Musik jene mit Victoria so assoziierte „Empfindsamkeit“, die allerdings nur einen Aspekt der sonst heiteren Disposition des Komponisten bildet. Die
Missa Ave maris stella hat zwei Agnus Dei-Sätze, von denen der zweite geteilte Tenorstimmen aufweist. Die Messe verzeichnet auch zwei Osanna-Vertonungen. Das nach dem Sanctus erscheinende Osanna ist für Victoria ungewöhnlich, weil es in der Tenorstimme auf eine Melodieversion des gregorianischen Chorals den gesamten Text des ersten Verses aus
Ave maris stella bringt. Damit bestätigt Victoria triumphierend das Grundgerüst seiner Messe. Dieses reizende Werk wurde zuerst 1576 veröffentlicht und dann in dem Band von 1583 nachgedruckt, der auch die
Missa O quam gloriosum enthielt.
aus dem Begleittext von Bruno Turner © 1984
Deutsch: Elke Hockings