By 1903, when he wrote
Dans le jardin to a commission by the poet and actor Paul Gravollet for the volume
Les frissons (to which twenty-one other composers also contributed, including Ravel, d’Indy and Widor), he was still basking in the success of his opera
Pelléas et Mélisande the previous year. The conversational style of this all-too-rarely performed song harks back to that of the opera, as do the fluid tempi—twelve different ones in under three minutes.
from notes by Roger Nichols © 2014
En 1903, quand il écrivit
Dans le jardin, une mélodie commandée par le poète-acteur Paul Gravollet pour le volume
Les frissons (auquel contribuèrent vingt et un autres compositeurs, dont Ravel, d’Indy et Widor), il était encore auréolé du succès de son opéra
Pelléas et Mélisande, l’année passée—un opéra que cette mélodie trop rarement jouée rappelle d’ailleurs par son style conversant comme par ses tempi fluides (douze en moins de trois minutes).
extrait des notes rédigées par Roger Nichols © 2014
Français: Hypérion
Als er 1903
Dans le jardin komponierte, welches der Dichter und Schauspieler Paul Gravollet für den Band
Les frissons in Auftrag gegeben hatte (zu dem insgesamt 22 Komponisten beitrugen, darunter auch Ravel, d’Indy und Widor), sonnte Debussy sich noch in dem Erfolg seiner Oper
Pelléas et Mélisande aus dem vorangegangenen Jahr. Der gesprächige Stil dieses viel zu selten aufgeführten Liedes bezieht sich auf denjenigen der Oper, wie auch die flüssigen Tempi—derer es 12 verschiedene in weniger als drei Minuten sind.
aus dem Begleittext von Roger Nichols © 2014
Deutsch: Viola Scheffel