My first exposure to Koechlin’s music came when I was a student of Joseph Mariano at the Eastman School of Music. Mariano frequently read duos with his students, and along with the inevitable Kuhlau duets, Koechlin’s sonata for two flutes was among his favorites. The serenity of the opening and closing pages is enhanced by the liberal use of octaves and perfect fourths and fifths—a rigorous test of good intonation: and the sinuous intertwining of the two lines invites and rewards attention to the subtleties of balance, blend, color, and expression.
from notes by Fenwick Smith © 1990
Mon premier contact avec la musique de Koechlin s’établit alors que j’étais étudiant de Joseph Mariano à Eastman School of Music. Mariano lisait fréquemment des duos avec ses élèves, et avec les inévitables duos de Kuhlau, la sonate pour deux flûtes de Koechlin était l’une de ces pièces préférées. La sérénité des premières et dernières pages est mise en valeur par l’utilisation libérale d’octaves, de quartes et de quintes justes—un test rigoureux pour la justesse; l’entrelacement sinueux des deux lignes invite les deux flûtistes à être très attentifs aux subtilités de l’équilibre, de la couleur et de l’expression.
extrait des notes rédigées par Fenwick Smith © 1990
Français: Anne Rousseau